Union Sportive Portésienne

Le Club

Le club de Portet sur Garonne évolue sur le stade municipal, avenue Salvador Allende qui fait partie d’un complexe sportif composé de 3 terrains en herbe, un terrain synthétique, une maison du rugby, une salle de musculation et une piscine.  

 

La belle histoire

Après les balbutiements du rugby portésien à une époque où le club ne s’appelait pas encore «Union Sportive portésienne» mais «Club Athlétic Portésien» aux couleurs «Jaune et Noir», nous étions en 1922 et devons rendre hommage à titre posthume à celui qui rameuta la jeunesse portésienne d’alors pour pratiquer ce sport qui nous est si cher, Antoine Hérisson.

Fondateur infatigable, il fut aidé dans sa tâche par Gabriel Lahille et Jean Borieu.

Le premier international portésien faisait partie de cette équipe et avait comme nom, Jean-Marie Nouziès qui obtint sa cape au poste de talonneur. Le départ d’Antoine Hérisson sous les drapeaux puis son passage dans la vie active mit un terme à la belle aventure de cette phalange.

Mais le rugby coulait à flots dans les veines des jeunes portésiens et le sol en terre battue remplaça l’herbe pour les ébats ovaliens de ces jeunes gens. Ils étaient une trentaine qui bataillaient ferme au centre du village au grand dam des commerçants.

Plus de clubs, pas de couleurs mais de l’enthousiasme à revendre pour deux équipes, cela suffisait mais ne pouvait pas durer.

Un jeudi de 1926, Lucien Cézéra ne supporta plus cette manière sauvage de pratiquer le sport-roi. Il tapa les statuts d’un nouveau club au travers de nombreuses tracasseries administratives et des caractères entiers de ces hommes de la première heure dont le nom est gravé à jamais au fronton du rugby local : Joseph Borieu, Bernard Cans, Paul Bouscatel, Marius Rives, Georges Vinsonneau.

L’Union Sportive Portésienne venait de naitre avec ses nouvelles couleurs « Vert et Rouge »

La compétition allait pouvoir commencer.

L’USP n’avait pas encore d’installations propres, qu’importe, les poteaux de rugby allaient fleurir aux quatre coins de la ville, là où se trouvait quelque terrain herbeux prêt à accueillir ces jeunes gens en culottes courtes.

LES TITRES & CLASSEMENTS

Le club de Portet a connu plusieurs montées en Fédérale 3 durant son histoire. En 2012 il est sacré double Champion des Pyrénées avec l’équipe Première et Réserve en Promotion Honneur. Évoluant en Régionale 2, le club est toujours en quête de développement. 

  • 1972 : SENIORS montée en 3ème division
  • 1982/1983/1984 : JUNIORS champions de France
  • 1984 : SENIORS montée en 3ème division
  • 2009 : JUNIORS : double titre Champion Grand Sud et des Pyrénées
  • 2012 : SENIORS : montée en Honneur et un double titre (équipe 1 et 2) de champion des Pyrénées
  • 2014 : CADETS : double titre Champion Grand Sud et des Pyrénées
  • 2016 : JUNIORS : Champion des Pyrénées et vice-champion Grand Sud

 

Les présidents

  • 1927–1929 : Le Docteur Paumès qui fut le premier à préparer la longue saga des « Verts et Rouges ».
  • 1929–1950 : Avènement de Louis Fourmatgeat. Figure emblématique sur la commune, notre boucher local fut tour à tour président et entraineur. Durant son mandat, il accepta la fusion avec la Police et le club, l’espace de deux saisons devint Portet-Police et en 1949 glana le titre des Pyrénées et National en 3ème série.
  • 1950–1955 : Julien Malet lui succéda. Avec son frère François cet ancien joueur du club, à la tête d’une des plus importantes entreprises de Travaux Publics sur l’hexagone, se sépara de son attelage avec la police dont la plupart des joueurs réintégrèrent le club voisin du TAC. Le groupe fût bâti avec en priorité de jeunes joueurs locaux qui les menèrent à la division honneur. L’aire de jeu fut donc le stade de Blanconne qui portait alors le nom évocateur de « l’abattoir » car le stade jouxtait les abattoirs municipaux qui servaient de…vestiaires! Sous son mandat les plus grands clubs mordirent la poussière sur le sol portésien vaincus par la furia et l’enthousiasme des jeunes Portésiens.
  • 1955-1962 : Après que le Président ait quitté ses fonctions en 1955, le club tomba en sommeil jusqu’en 1962.
  • 1962–1977 : Un grand monsieur par la taille et la valeur reprit le flambeau: Maurice Chauliac avec qui débuta une nouvelle et belle aventure. Les « Vert et Rouge » furent rebâtis grâce à la volonté et l’enthousiasme de ce chef d’entreprise qui avait su s’entourer d’une équipe merveilleuse dont son ami l’international Henri Fourès. Ce fut un mandat florissant pour ce bâtisseur, cet innovateur. Sous l’impulsion de Henri Fourès, et d’André Gouze ensuite comme entraineurs, les locaux de Maurice faisaient admirer leur jeu et toutes leurs qualités rugbystiques au point qu’ils montèrent pour la première fois dans l’histoire du club en troisième division, ratant d’un souffle la marche qui les menait à la deuxième. Au cours de son long mandat, Maurice ne s’arrêta pas aux seules joutes ovaliennes de son club dans les compétitions officielles. On lui doit : un « intervillages » qui se déroula sur le stade de Blanconne, la fête de la bière sur le terrain du Ramier et même l’organisation de voyages en terre ibérique pour y rencontrer une équipe de Barcelone, et outre-manche pour encourager l’équipe de France à Twickenham. 17 ans de présidence fut un bail long, très long. De plus, Maurice était membre du Comité des Pyrénées depuis 1966. Ces longues années de présidence furent lourdes à porter et tout en restant au sein de l’équipe dirigeante, il passa le flambeau en 1978 à son homme de confiance Félix Cuoc.
  • 1978 – 1980 : Durant deux années, Félix continua à faire passer le message de son prédécesseur avant de céder sa place, vaincu par la maladie. Le club venait de perdre un homme affable et dévoué, grand serviteur des « Vert et Rouge ».
  • 1980-1982 : C’est l’avènement d’un ancien Fernand Susigan qui tint les rênes du char « vert et rouge ». Des problèmes d’effectifs et une poule très difficile ont eu raison de l’USP qui redescendit dans la compétition régionale et participa au championnat « Honneur ».
  • 1982-1986 : Ce fut un nouveau grand cru avec l’arrivée à la tête du club de André Fontanel, ancien joueur d’un club Tarn et Garonnais. Sous son mandat, ce furent les juniors drivés par le tandem Raynaud / Giraldou qui lui apportèrent de grandes satisfactions.
  • 1982/1983/1984 : le titre pyrénéen fut portésien avec en point d’orgue le titre national «Danet» en 1983. Au sein de cette équipe un joueur montrait déjà le bout de son nez Christophe Deylaud, joueur prestigieux s’il en est. En 1984, il participa d’ailleurs à la remontée du club en troisième division. Durant quatre ans, on a pu apprécier la rigueur et le travail accompli par André et sa merveilleuse équipe.
  • 1986-1987 : Courte apparition d’un autre ancien joueur, Pierre Cassignol qui rebâtit une équipe dirigeante et poursuivit le maintien à flots le navire « vert et rouge ». Ce fut également l’année du soixantennaire du club.
  • 1987-1990 : Le deuxième ligne de l’équipe « réserve » Philippe Garrigues lui succéda. Assureur de son métier, son « contrat » avec les joueurs fut clair : tenter la montée en deuxième division. Pari tenu et Philippe put s’enorgueillir d’être le premier président à avoir atteint son objectif.
  • 1990-1992 : Innovation au club et qui a tendance à se généraliser la coprésidence. A Portet elle fut inaugurée par Marcel Castro et Orféo Balsarin: le mélange de la passion et de la technique, avec un seul amour: le rugby. Marcel, un homme neuf avait une ambition bien légitime: la montée dans le groupe « B ». Pour y arriver, Marcel n’avait ménagé ni son temps ni sa peine. Aidé par son compère Orféo qui, en tant qu’ancien joueur de haut niveau, connaissait tous les rouages du monde d’ovalie. Ce furent deux années bénéfiques.
  • 1992-1994 : Marcel poursuivit sa mission, mais son enthousiasme débordant ne fut pas toujours bien récompensé. Il faut saluer cet homme généreux qui durant quatre ans s’est toujours battu pour aider ses joueurs dont il partageait joies et peines. Sous son mandat, il aura fêté le titre national juniors UFOLEP en 92, l’année de son arrivée à la tête du club.
  • 1994-1995 : Ce fut une nouvelle présidence bicéphale entre Marcel Castro et cette fois Henri Fourès.
  • 1995-1997 : Henri Fourès driva seul le club qui redescendit en troisième division.
  • 1997-1999 : Louis Dominguez et Pierre Sentenac dirigent en duo la première année. Louis Dominguez, ancien joueur des années 60 et 70 reste seul aux commandes en 1998-1999.
  • 1999-2002 : Une nouvelle équipe dirigeante (pour l’essentiel des parents de joueurs) prend en charge les destinées du club, avec à la tête Paul Helluy et Gérard Montaut. L’équipe 1, entrainée par Serge Boéro, Didier Récaud, asistés de François Gimenez se qualifie et gagne le billet retour pour la fédérale 3 (victoire contre Saint-Cyprien) à la fin de la saison 2000-2001. Changement d’entraineurs à la fin de la saison suivante avec l’arrivée de deux anciens « Verts et Rouges », Pascal Antia et Dominique Troncatti. Le retour en fédérale 3 sera éphémère. L’USP retourne en honneur en 2002.
  • 2002–2003 : Gilles Escaffit assure une présidence « difficile », marquée par de sérieux soucis financiers et une non qualification au niveau sportif. Didier Ricaud et Jacques Soulié entrainaient les séniors durant cette année noire.
  • 2003-2006 : devant le risque de mise en sommeil du club, Marcel Castro reprend les rênes de l’USP, avec l’ancienne équipe dirigeante, bien soutenu par Claude Gianesin, Robert Mantovani, Orféo Balsarin et Ginette Dupuy à la trésorerie. Deux jeunes entraineurs Frédéric Saint-Martin et Vincent Buero qualifient l’équipe 1 dès la première année. La remontée en fédérale 3 est manquée de peu contre Argelès-Gazost et deux tours sont également passés en Championnat de France. S’en suivront deux années plus moyennes sportivement parlant.
  • 2006–2010 : un ancien joueur, Cédric Barbe devient le plus jeune président de l’USP bien assisté à ses débuts par Robert Mantovani toujours présent. Les responsabilités de l’entrainement sont confiés à Michel Alarcon et Marc Coeurveillé la première année, puis au tandem Jean Arnaudin et Thierry San Roma pour les trois années suivantes. Les 2 équipes séniors se qualifient deux fois pour les phases finales du championnat des Pyrénées. A noter durant cette période les excellents résultats des jeunes cadets et juniors respectivement champions Petit Sud, champion Phliponeau Grand Sud en 2009 et deux fois finalistes du championnat de France en 2010 et 2011. Par ailleurs, sous l’impulsion de Cédric Barbe, l’école de rugby commence à se structurer.
  • 2010–2011 : Cédric Barbe est rejoint à la tête de l’USP par Philippe Panabière issu de l’école de rugby. Les ex-entraineurs des juniors Pascal Villeroux, Patrick Bruno et Pierre Maurice dirigent désormais les séniors. La saison est difficile avec un effectif limité et une descente probable en Promotion Honneur. Sur la lancée de l’école de rugby, le club poursuit sa structuration est un nouveau Comité Directeur est élu le 26 mai 2011.
  • 2011–2018 : Philippe Panabière est élu président, il s’entoure d’une équipe jeune et dynamique. Cette nouvelle équipe poursuit le travail de structuration du club avec la modification des statuts et la création d’un règlement intérieur. Elle initie également le rapprochement des écoles de rugby de Roques et de Roquettes et aboutie à la création de l’Entente du Confluent en 2012. En 2011-2012, le club nouvellement structuré est sacré double-champion des Pyrénées en Promotion d’Honneur, équipe première et réserve. Ce doublé historique permet au club de remonter immédiatement en Honneur. La saison suivante, l’objectif de qualification est obtenu à l’arraché lors du dernier match de la phase de qualification à domicile. Cette dernière saison montre le rehaussement du niveau de jeu dans cette catégorie Honneur avec de plus en plus d’anciens pensionnaires de fédérale 3 qui vienne en grossir les effectifs. Une nouvelle politique sportive et de développement doit être initiée.
  • 2018 : ancien joueur, ancien entraineur, ancien éducateur de l’EDR, ancien trésorier, toujours soigneur et vidéaste, Frédéric Pauly, l’ariégeois, assure la présidence depuis 2018.

LE JOUEUR EMBLÉMATIQUE

Christophe Deylaud, le petit prince de l’attaque fit lever les foules au poste de demi d’ouverture quelques années après d’autres joueurs issus du club tel que Henri Foures ou Eric Bonneval. Avec plusieurs Sélections en équipe de France il a marqué l’histoire du rugby français.

Les partenaires

Les commerces partenaires

Les équipes

  • Séniors 
  • Juniors et Cadets
  • École de Rugby

Contact

Maison du Rugby, avenue Salvador Allende – Portet-sur-Garonne   

A DECOUVRIR CHEZ NOUS

  • Le Parc Naturel de Portet sur Garonne et la réserve naturelle

Anciennement dénommé « Parc du Confluent », le Parc Naturel de Portet-sur-Garonne est un joyau du patrimoine écologique et environnemental de la Ville.

Situé en rive droite, le Parc constitue une enclave « naturelle » isolée au sein d’une trame agricole et urbaine. Il s’agit d’un vaste ramier peuplé de peupliers, saules, ormes, aulnes…, implanté sur un ancien site d’extraction de sable et de graviers.

Propriété communale depuis les années 1980, la municipalité a depuis longtemps travaillé à la réhabilitation de ce site. Grâce au programme de la commune, le Parc a été réaménagé, mis en valeur et ouvert au public. Ce site « naturel » présente aujourd’hui un intérêt certain pour la promenade, du fait de ses paysages variés et de ses points de vue nombreux sur la Garonne et la confluence avec l’Ariège. L’ambiance de « nature sauvage » est fortement recherchée par les visiteurs de ce site naturel.

  • Le Bac municipal

Le Parc naturel de Portet-sur-Garonne est aussi accessible en prenant le bac qui vous emmène d’une berge à l’autre de la Garonne en quelques minutes. Il fonctionne du 1er avril au 31 octobre, les mercredis, samedis, dimanches et jours fériés lorsque les conditions climatiques et de navigation le permettent.

Pour une traversée unique et originale.

  • Le Ramier des berges de Garonne

D’une superficie de 13 ha, le Ramier des berges de Garonne est le lieu idéal pour ceux qui souhaitent se détendre à l’ombre des arbres.

Aire de jeux pour les enfants, pistes cyclables pour les sportifs, écrin de verdure pour les adeptes du “farniente” ou des sports de plein air (jogging, randonnée, roller, vélo…), les berges de Garonne sont très prisées par tous les Portésiens mais également par les visiteurs des alentours ou encore les kayakistes et les canoéistes qui descendent les deux fleuves (Garonne et Ariège).

Ce mélange intergénérationnel est renforcé par les animations et les événements qui se déroulent chaque année dans ce cadre verdoyant : Journées Nature, Fête locale, Rendez-vous de l’été Festival MéditerranéO’, Boucle du Confluent, …

Le Ramier arboré entre le centre-ville et la Garonne.

  • Le Parc du Château

En grande partie classé en Espace Boisé Classé, le Parc du Château, situé dans le cœur historique de la ville, revêt un caractère patrimonial rare.

La partie arborée du domaine présente une diversité très intéressante. 198 arbres ont été inventoriés par l’ONF, qui a dénombré 26 espèces différentes. Trois essences représentent quasiment 50% du patrimoine végétal du parc. Parmi elles, on trouve le Chêne vert (24%), le Chêne sessile (15 %) et le Troène vulgaire (8%).

Le diagnostic de l’ONF a été complété par la suite de préconisations d’intervention permettant de garantir au mieux la pérennité des arbres ainsi que de propositions d’aménagement et de protection du patrimoine arboré. C’est dans cet esprit que la ville a travaillé à la mise en sécurité, l’aménagement et désormais l’entretien du parc.

Le cèdre du Liban du parc du Château de Portet a été labellisé “Arbre remarquable de France” en 2023.

Ce label est attribué aux communes, collectivités territoriales, établissements publics et propriétaires privés qui, possédant un arbre exceptionnel, signent un accord de partenariat avec l’association, impliquant notamment :

> Un engagement d’entretien, de sauvegarde et de mise en valeur de l’arbre en question, considéré comme patrimoine naturel et culturel,
La mise en place sur le site d’un panneau de présentation de l’arbre portant le logo de l’association.

Les arbres remarquables sont des êtres vivants qui présentent des caractères intéressants d’âge, de dimensions, d’esthétique, de particularités, de situation, d’histoire ou de légende. Ce sont des éléments du patrimoine naturel et culturel.

  • Le Château de Portet

Edifice emblématique de la commune, situé près de l’église dans le cœur historique de la ville, le Château de Portet s’élève en bordure d’un vaste parc de plus d’un hectare et demi.

Il accueille le service Culture et animations urbaines de la ville, le service Patrimoine, l’école de musique et la Police municipale dans un bâtiment adjacent nouvellement sorti de terre.

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  • L’Église Saint-Martin

Édifiée aux 14ème et 15ème siècles, elle mérite le détour et réserve quelques très belles surprises. Son portail d’abord, inscrit à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques depuis le 21 mai 1953 et à à l’extérieur une cloche classée et un carillon unique en France. Elle abrite également de nombreux joyaux historiques, classés Monuments Historiques au titre d’objet.

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  • L’orgue de l’église

Dans le cadre de sa politique patrimoniale et mémorielle, la Ville a engagé en 2020 la restauration de l’orgue, afin que cet instrument puisse de nouveau donner du corps et résonner, qu’il soit le cœur de rassemblement de mélomanes, d’amoureux du patrimoine, qu’il offre ses gammes aux différentes cérémonies qui se déroulent à l’église

L'orgue de l'église Saint-Martin restauré - Ville de Portet-sur-Garonne

  • L’Obélisque, chemin de Castelet

Visible au fond du chemin du Castelet qui sépare Portet de Roques, l’obélisque, pyramide marquant la limite entre la Guyenne et le Languedoc, est inscrit à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques depuis le 21 février 1973

  • Le Musée de la Mémoire labellisé « Tourisme et Handicap » pour les 4 déficiences (auditive, mentale, motrice et visuelle)

Installé dans un ancien bâtiment du camp du Récébédou, le Musée s’inscrit dans une volonté de transmission d’une histoire. Son ambition, celle d’être un lieu de mémoire, mais aussi un outil de réflexion et de connaissance.

À travers cette visée pédagogique, le Musée accueille une exposition permanente, une maquette du camp, et des expositions temporaires afin que chacun puisse se réapproprier un passé partagé par tous. Il permet également la consultation sur place d’un certain nombre d’ouvrages traitant plus particulièrement des camps d’internement.

Cité ouvrière à l’origine, le camp du Récébédou fut transformé en centre d’hébergement pour les réfugiés républicains espagnols et les juifs étrangers après les lois anti-juives d’octobre 1940. Sous le gouvernement de Vichy il devient un camp-hôpital.

Très vite les conditions de vie se détériorent : insuffisance de nourriture, manque de soins… Trois convois partiront de la gare de Portet-Saint-Simon vers les camps de la mort. Il sera fermé fin septembre 1942 suite à la protestation de Monseigneur Saliège. À la libération, des républicains espagnols rescapés du camp de concentration de Mauthausen s’installent dans une douzaine de baraquements. Cette enclave dans l’ex- camp du Récébédou sera appelée « La Villa Don Quichotte » symbolisant l’exil et l’impossible retour dans l’Espagne franquiste.

À l’occasion des 80 ans de l’exil des Républicains espagnols, un Mémorial de la Retirada a été inauguré sur le parvis du Musée de la Mémoire, le 2 février 2019.

LE MUSEE DE LA MEMOIRE - PORTET-SUR-GARONNE -

Entrainements

  • Séniors : mercredi et vendredi de 19h30 à 21h
  • Juniors et Cadets : mardi et vendredi de 19h à 21h
  • École de Rugby : mardi 18h30-20h30 / mercredi 17h30-19h / samedi 11h-12h / vendredi 17h30-19h30 

Les après-matchs

La MAISON DU RUGBY du Club située au centre d’installations sportives qui comprennent 3 terrains en herbe d’excellente qualité, un terrain synthétique, une salle de musculation et une piscine.

Site que beaucoup nous envie puisque les cadets et les juniors du Stade Toulousain y organisent régulièrement leurs stages de préparation mais également l’équipe nationale d’Algérie qui dans le cadre de la qualification pour la coupe du monde 2023 s’est réunie en stage durant 4 jours.